Dans la SSHL, il existe des équipes rapides, techniques, défensives…
Et puis il y a les Stars.
Une équipe bruyante, verbale, qui remet les arbitres à leur place, qui joue dur et qui distribue volontiers quelques coups sournois quand l’occasion se présente. Bref : les Broad Street Bullies de notre ligue.
Affronter les Stars garantit deux choses :
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des ecchymoses
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des sacs de glace à rapporter à la maison
Une soirée contre les Stars, ce n’est pas un simple match… c’est une expérience sensorielle.
Une équipe solide à toutes les positions
Les Stars sont construits avec une rare qualité : ils sont dangereux partout.
Aucun trio faible, aucune paire de défense qui ralentit la machine.
C’est un groupe bien huilé qui attaque, frappe, provoque… et recommence.
Offensivement, ils roulent à plein régime : six joueurs affichent déjà une moyenne d’un point par match, un exploit rare dans la SSHL.
Jonathan Pivin : incontrôlable
La locomotive des Stars porte un nom : Jonathan Pivin.
Inarrêtable. Irritant. Électrique.
Un cauchemar pour les adversaires et un bonheur pour les partisans.
Malgré ses 31 minutes de pénalité, Pivin cumule 19 points en 10 matchs.
C’est un rythme de véritable MVP offensif pour la saison 2025–2026.
Les entraîneurs adverses n’ont pas le choix : quelqu’un doit être collé à lui en tout temps.
Avec lui, tout peut arriver… mais surtout des buts.
Le duo Bouchard–Pivin : la version SSHL de Suzuki–Caufield
À ses côtés, Mathieu Bouchard connaît un excellent début de saison avec 15 points en 11 matchs.
Ensemble, ils forment un duo dynamique, complémentaire et terriblement divertissant.
Leur chimie rappelle le tandem Suzuki–Caufield : créatif, imprévisible, et capable de changer un match sur une seule présence.
Production offensive généralisée
Ce qui rend les Stars encore plus menaçants, c’est que tous les réguliers ont déjà marqué.
La production vient de partout : chaque ligne peut faire mal, chaque joueur peut surprendre.
Pour le spectacle, les Stars comptent parmi les équipes les plus palpitantes à regarder dans la SSHL — quand on n’est pas trop occupé à se masser les côtes après un “accident” de bâton.
Sebastien Desparois : pas élite, mais efficace
Devant le filet, Sebastien Desparois n’entre pas dans la catégorie des gardiens élites.
Mais il fait le travail, et parfois même davantage.
Aidé par une défense solide et physique, il offre exactement ce dont l’équipe a besoin : de la stabilité.
Et quand ton club marque autant, c’est souvent amplement suffisant.
Prédiction de la saison
5e position.
Les Stars connaissent un excellent début de saison, aucun doute.
Mais si l’histoire nous a appris quelque chose, c’est ceci :
en décembre–janvier, ils lèvent toujours le pied.
Reste à voir si, cette saison, les Broad Street Bullies de la SSHL peuvent enfin briser cette tendance.
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