Dans la SSHL, chaque équipe possède sa propre identité. Certaines sont aimées, d’autres inspirent la sympathie, et quelques-unes font sourire…
Et puis, il y a les Angry Pucks.
Une équipe construite comme le Cobra Kaï : tannante, contestée, malicieuse, intimidante, mais surtout…
dangereuse et efficace.
Chaque match contre eux ressemble à un duel où il vaut mieux être prêt mentalement — parce que les Angry Pucks jouent comme s’ils voulaient mettre au tapis n’importe quel adversaire.
Un alignement menaçant… et une vedette qui fait peur
Les Angry Pucks comptent sur un striker : Anthony Patulli, qui connaît un début de saison tonitruant avec 13 points en seulement 9 matchs. Une machine offensive, un poison constant, un joueur capable de changer un match à lui seul.
Mais la force — ou l’horreur, selon l’adversaire —, c’est que tout le monde contribue.
Une production équilibrée, répartie, imprévisible.
Exactement le genre de recette qui humilie les équipes mal préparées : tu neutralises la vedette ? Parfait, les autres t’écrasent.
Un mur devant le filet : Maxime Beauchamp
Certes, Maxime Beauchamp n’affiche pas encore les statistiques de sa brillante saison dernière (0,915).
Mais ne vous laissez pas berner.
Il demeure l’un des gardiens d’élite de la SSHL : un compétiteur féroce, un dernier rempart intimidant.
Et lorsque tu places un gardien de ce calibre derrière une équipe qui joue du hockey « Cobra Kaï », tu obtiens un cocktail explosif.
L’arrivée du vétéran Jessy Chalmers
Sur le marché des joueurs autonomes, les Angry Pucks ont ajouté un nom intrigant : Jessy Chalmers, l’ancien Red Knight, comme gardien suppléant.
À sa première véritable sortie, il répond présent avec une efficacité de 0,913.
Une entrée en matière qui fait taire plusieurs de ses détracteurs, ceux qui le croyaient fini.
Chalmers envoie un message clair :
le vétéran n’a pas dit son dernier mot.
Le mystère Pierre-Luc Prescott
À l’inverse, l’équipe attend toujours le premier but de Pierre-Luc Prescott.
On le sait : il travaille fort. Très fort.
Une source près du club confirme que ses coéquipiers le soutiennent complètement et que la rondelle lui sera servie sur un plateau pour l’aider à briser cette sécheresse.
Déterminé, Pierre-Luc aurait même promis de payer la bière d’après-match aux joueurs qui récolteront une mention d’aide sur son premier but.
Un beau geste… et une motivation supplémentaire dans ce groupe très soudé.
Comme un certain dojo bien connu…
Les Angry Pucks incarnent parfaitement l’ADN du Cobra Kaï :
Travail acharné. Intensité. Pas de pitié.
Strike first. Strike hard. No mercy.
Cette équipe peut faire très mal lorsqu’elle est lancée.
Et personne dans la ligue ne veut les affronter en séries.
Prédiction au classement
4e place… et une présence en demi-finale.
Indice de calibre : 37